Doctor Who
Dernier représentant des Seigneurs du temps et âgé de plus de 900 ans, Le Docteur parcourt l'espace et le temps dans son TARDIS. Amoureux de la race humaine, il se fait régulièrement accompagner par des compagnons d'aventure. Partagé entre folie et génie, insouciant mais conscient de ses responsabilités, il ...
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En cours | GB | 45 minutes |
Science-Fiction, Aventure, Drame, Fantastique | BBC One, France 4, Disney+ | 2005 |
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2.04 - La Cheminée des temps
The Girl in the Fireplace
À Versailles, au XVIIIe siècle, madame de Pompadour est poursuivie par de dangereux androïdes. Elle sait que son seul espoir vient d'un homme mystérieux qui hante ses rêves depuis l'enfance, connu seulement sous le nom du Docteur...
Diffusion originale : 06 mai 2006
Diffusion française :
06 mai 2006
Réalisat.eur.rice.s :
Euros Lyn
Scénariste.s :
Steven Moffat
Guest.s :
Paul Kasey
,
Jonathan Hart
,
Jessica Atkins
,
Emily Joyce
,
Ellen Thomas
,
Gareth Wyn Griffiths
,
Noel Clarke
,
Ben Turner
,
Sophia Myles
,
Angel Coulby
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 06 janvier 2024 à 23:34 |
Exactement ce qu'on veut voir quand on se plonge dans Dr Who ! C'est riche, complexe, hyper intéressant, ça croise les mondes... Les droides sont magnifiques sur tous les plans, le concept est génial ! Bref, très très cool cet épisode ! |
Avis favorable | Déposé le 26 juin 2020 à 00:02 |
Après 4 épisodes de nanar ou d'épisodes intéressants, il est sans dire que cette saison 2 était clairement moins intéressante que la première et il lui manquait cruellement d'un épisode pour se démarquer. Et The Girl in the Fireplace est exactement l'épisode qu'il lui fallait ! C'est un épisode de pure Moffaterie, le premier de la nouvelle série d'une longue lignée à exploiter la donnée temporelle comme d'un vrai moyen de créer des histoires intéressantes (et Moffat réitérera cet exploit dans des épisodes comme les excellents Blink, The Eleventh Hour, Heaven Sent ou World Enough and Time !). Et Steven Moffat le fait en racontant la vie de Madame de Pompadour. Sauf que cette vie, elle est morcelée dans un vaisseau spatial qui a besoin du cerveau d'une Madame de Pompadour âgée de 37 ans pour se réparer ! Un vaisseau qui s'est déjà réparé tout seul, grâce à des androïdes mécaniques qui font un bruit d'horloge, des androïdes que je trouve totalement réussis et qui arrivent à créer un certain sentiment d'angoisse, que ce soit avec leur design frôlant l'uncanny valley ou avec la musique de boîte à musique cassée rappelant l'enfance à chacune de leur apparition. Ou encore avec cette scène où le Docteur est dans la chambre de Madame de Pompadour et se rend compte que la seule horloge de la pièce est cassée, et se rend compte que le bruit qu'il entend n'est pas naturel. Une scène typiquement Moffatesque ! Et cet épisode, c'est aussi un réel travail de reconstitution historique. L'environnement versaillais est retranscrit à merveille et tranche totalement avec l'environnement futuriste du vaisseau spatial, et les costumes sont tous réussis (mention spéciale aux perruques françaises des androïdes). C'est un épisode qui retrace la vie de Madame de Pompadour, une vie qu'elle a passé via le chemin le plus long, tandis que le Docteur n'a cessé de prendre des raccourcis dans sa vie. Un concept que l'on retrouvera dans The Eleventh Hour et qui définira une entière compagne au passage, sauf que dans The Girl in the Fireplace il s'agit de toute la vie de Madame de Pompadour, de son enfance jusqu'à sa mort, que le Docteur visitera. Et c'est très touchant, Madame de Pompadour est très convaincante dans son rôle et même si je n'apprécie pas la relation romantique installée que je trouve un peu lourde, force est de constater qu'elle reste une suite logique des événements et que la lettre envoyée au Docteur après sa mort est très juste et très émouvante. Comme pour TEC/TDD, The Girl in the Fireplace est un épisode de Steven Moffat marqué par sa perfection d'écriture, son atmosphère d'effroi, ses décors magnifiques et ses personnages humains. C'est un épisode organique (... pas sûre que le mot soit approprié vu le concept de l'épisode) mais aussi vivant et j'en regrette presque d'avoir écrit si peu malgré que je n'ai fait que dire du bien de cet épisode qui frôle la perfection. Et le trio Docteur/Rose/Mickey possède une superbe alchimie ! |
Avis favorable | Déposé le 04 décembre 2018 à 00:12 |
Y a pas à dire, Steven Moffat sait écrire des scénarios (reste à savoir s'il sait gérer une série, tâche ô combien différente) ! C'est poétique, émouvant, franchement bien fichu. L'actrice qui joue Mme de Pompadour donne une aura de charisme au personnage, qui traite d'égal à égal avec le Docteur. J'avoue avoir eu peur lors de la première apparition des automates, encore aussi dangereux que poétiques, tout comme l'étaient les personnes aux masques à gaz dans le two parter de la saison 1. La fin est très belle également, et je peux dire qu'à partir de cet épisode, j'ai mon coup de coeur pour Tennant : il fait tout, de la joie à l'émotion, sans jamais en faire trop. Si DW; à son meilleur, produit ce genre d'épisodes, I'm in for one hell of a ride ! |
Avis favorable | Déposé le 25 juillet 2018 à 22:08 |
Spoiler
Le Docteur et Reinette vivent une histoire d’amour dévastatrice qui pourtant ne peut exister que dans quelques fragments d’existence, mais le temps passe et chaque seconde est une seconde en moins. |
Avis favorable | Déposé le 16 juillet 2015 à 22:32 |
L'épisode qui m'a fait tomber amoureux de la série. La quintessence de Doctor Who en 40 minutes. Les époques s'entremêlent autour du Docteur et de madame de Pompadour, le rythme s'emballe, et nos coeurs avec. Merci Steven. |
Avis favorable | Déposé le 01 février 2015 à 13:46 |
Meilleur épisode de la série selon moi avec le double-épisode "The Empty Child"/"The Doctor dances". C'est Steven Moffat qui a scénarisé ces trois épisodes ? Comme c'est curieux... Blague à part, l'intrigue était vraiment intelligente et le duo Pompadour-Docteur très touchant. Rose et Mickey étaient en retrait mais qu'importe. Chose importante que j'ai noté également : la musique était excellente. Bravo ! On en veut encore ! |
Avis favorable | Déposé le 08 novembre 2014 à 12:54 |
Avis modéré par la rédaction de Série-All. |
Avis favorable | Déposé le 22 octobre 2014 à 12:32 |
Le scénario est excellent, les ennemies géniaux, la musique magnifique et les acteurs jouent très justes. Mention spécial à Arthur le meilleur personnage de l'épisode ! |
Avis favorable | Déposé le 20 octobre 2014 à 11:15 |
Après l'enfant au masque de la saison 1, force est de constater que Moffat n'a pas son pareil pour créer des figures inquiétantes, voir qui donne du pipi au fond de nos culottes. En tout cas, un épisode qui fait la force de cette série, c'est à dire un de ceux qu'on dirait écrit sous psychotropes. |
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Critique : Dr Who (2005) 2.00
Après une première saison qui à mon gout se cherchait entre le sérieux et le burlesque, la saison deux de "Dr Who" nous revient avec un pilote de saison qui met visiblement plus de moyen et surtout, de lucidité. Que vaut donc ce nouveau Docteur ?
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Et effectivement, j'ai vraiment apprécié celui-ci. La quête des extra-terrestres est un peu anecdotique, mais le véritable intérêt reste là encore, la relation entre le docteur et Reinette. L'épisode aborde une vraie problématique : le temps est distordu entre les êtres humains et le docteur. Ce qui passe en 5 minutes pour lui peut être des années pour les autres. Et je trouve que cette symbolique est très bien retranscrite avec le vaisseau spatial et les portes associées. La lettre de Reinette envers le docteur, puis sa réaction, étaient par ailleurs très très touchante.
Je m'avance peut-être un peu, mais je me demande aussi si Rose ne prend pas petit à petit conscience que son voyage avec le docteur va se stopper un jour.